Nom du blog :
laparoledupere
Description du blog :
Je suis le Pain de Vie
Catégorie :
Blog Religion
Date de création :
04.07.2011
Dernière mise à jour :
27.12.2018
>> Toutes les rubriques <<
· Priere (50)
· Damien Pierre Lukoki (3)
· De mon frère (280)
· De ma soeur (241)
· Etude (41)
· My (61)
· Méditations (92)
· Exhortations (116)
· Mariage (37)
· Le combat spirituel (11)
Accueil
Gérer mon blog
Créer un blog
Livre d'or laparoledupere
Contactez-moi !
Faites passer mon Blog !
· Prière contre la sorcellerie
· PUISSANTE PRIERE DE COMBAT
· LA TUNIQUE DE JOSEPH
· VERSET BIBLIQUES
· La dote chez les Baoulés et les Bétés
· Esther akawa nzambe nanga
· Hello Kitty
· PRIERE POUR VAINCRE LA STÉRILITÉ
· COMMENT PRENDRE SOINS LES UNS DES AUTRES !
· NE TE DECOURAGE PAS
· It All Belongs To You - Damita Haddon
· LE PARADIS
· Jésus : je t'aime
· LA BIBLE
· TOUT TRAVAIL MERITE SALAIRE
· lasemencevivante
· langedeleternel
· guillaumekpazai
· beajohnny
· haurore
· latrompettesonne
· Robert87300
· lacolombemessagere
actualité amis amitié amour ange anges annonce argent belle bisous bonjour bonne
Derniers commentairesamen amen amen .cette prière prend vie dans mon foyer au nom puissant du seigneur jésus christ. je déclare que
Par Anonyme, le 22.12.2018
amen
Par Anonyme, le 16.12.2018
prier aussi pour moi....je lutte contre la stérilité depuis 14ans.
Par Anonyme, le 16.12.2018
priez pour moi, pour vaincre toute forme probable de stérilité
Par Anonyme, le 12.12.2018
dieu tout puissant ayez pitié de moi. pardonnez moi mes pêchés. aidez mon mari et moi à avoir des enfants. ren
Par Anonyme, le 03.12.2018
Fiançailles et mariage cosmiques;
YIRMÉYAHOU
- Jérémie 1:2- 3
La parole d'ADONAÏ me fut adressée : va et crie aux oreilles de Yérouchalayim qu'ainsi parle ADONAÏ :
Je me souviens de ta dévotion quand tu était jeune ; combien tu m'aimais en tant qu'épouse,comment tu me suivais à travers le désert, à travers un pays non ensemencé.
Ainsi parla D.ieu :
Je me rappelle l’affection de ta jeunesse, ton amour au temps de tes fiançailles,quand Tu me suivais dans le désert, dans une région inculte.
YIRMÉYAHOU
- Jérémie 2 : Dans ce monde, [le lien de D.ieu avec Son peuple] fut un engagement – comme il est écrit :
« Je te fiancerai à Moi pour toujours »
1- et D.ieu ne leur donna que la lune, comme il est écrit : « Ce nouveau mois (lunaison) sera pour vous… »
2 -Mais aux jours de Machia’h,il y aura un mariage, comme il est écrit : Ton mari, ton Créateur »
3-,et alors D.ieu leur donnera tout,comme il est écrit :
« Et les sages resplendiront comme l’éclat du firmament et ceux qui auront dirigé la multitude dans le droit chemin, comme les étoiles, à tout jamais. »
4- MIDRACH RABBA, Chemot - Exode 15:30
Nous habitons une réalité qui se définit par deux aspects essentiels: l’être et le néant.
Une chose soit, soit n’est pas, est soit manifeste, soit réprimée, en mouvement ou au repos, positive (chargée d’énergie) ou négative (non chargée d’énergie).
Les phénomènes les plus complexes eux-mêmes constituent la somme de nombreux degrés de présence ou d’absence.
Une fois que tout a été dit et fait, tout se réduit à la convergence d’un certain nombre de « oui » et d’un certain nombre de « non ».
Les « non » tracent les paramètres d’une chose,établissant ce qu’elle n’est pas, tandis que les « oui » sont l’essence de ce qu’elle est.
Un morceau de bois rouge d’un mètre n’est pas un morceau de bois d’un mètre vingt, n’est pas vert, bleu ni jaune, n’est pas de la pierre ou du fer,etc.
Les « non » constituent les limites du morceau de bois, de son être et de ce qui le distingue des autres objets, alors que les « oui » ont un lien avec ce qui se trouve à l’intérieur des limites : la nature et les caractéristiques de ce morceau de bois lui-même.)
Au Mont Sinaï, lorsque D.ieu Se révéla à nous, et nous donna la Torah, nous nous consacrâmes à Lui comme sa jeune épousée
« D.ieu regarda dans la Torah et créa le monde. »
5- C’est pourquoi la nature binaire de la Création reflète la division de la Torah en règnes positif et négatif.
« Je suis l’Éternel ton D.ieu »
6- le fondement des commandements positifs (Mitsvot Assé) est complété par « Tu n’auras pas d’autres dieux que Moi »
7- l’essence de tous les commandements négatifs (Mitsvot Lo Taassé) ; « Aime ton prochain comme toi-même »
8- est la contrepartie positive de « Tu ne haïras ton frère dans ton cœur »
9- et « Souviens-toi du jour du Chabbat »
10- fait écho à « Ne fais aucun travail… le septième jour
».
11- La Torah commande de créer la vie
12- et interdit de la détruire
13 - elle prescrit de consommer du pain non levé à Pessa’h,
14- et interdit tous les aliments levés pour la durée de la fête
1-, et ainsi de suite.
Le mariage tel qu’il est prescrit par la Torah inclue également aussi bien une composante « affirmative » qu’une composante « négative ».
Selon la loi de la Torah, un mariage consiste en deux étapes distinctes. viennent les Kiddouchine (« consécration », appelés également Eroussine : « engagement, fiançailles »
16 - : le jeune homme donne à la jeune fille un objet de valeur (traditionnellement un anneau) et en retour, la jeune fille se consacre à lui, avec l’effet qu’« elle devient interdite au reste du monde ».
17 -A partir de là, si elle se lie physiquement à un autre homme, cela constitue un adultère et dissoudre les kiddouchine requiert un guett (un acte de divorce), comme pour un mariage déjà célébré.
Pourtant, le but du mariage n’est pas d’interdire « au reste du monde » de vivre avec elle, mais d’établir une union entre deux personnes.
C’est là la fonction des Nissouine (« mariage »), accomplis par la ‘Houpah (le dais nuptial), le Yi’houd (isolement du couple après le mariage) et les Chéva Bera’hot (les sept bénédictions nuptiales) qui font des époux « une seule chair ».
18- En d’autres termes, les Kiddouchines définissent les paramètres d’une relation, libérant un « espace » dans lequel elle peut exister, alors que les Nissouines remplissent cet espace de l’essence de la relation elle-même.
DÉFENDRE LES FRONTIÈRES
Comme nous l’avons dit, les Kiddouchines et les Nissouines constituent deux phases distinctes dans le processus du mariage. dispersion
Et de fait, à l’origine, les Kiddouchines avaient lieu bien plus tôt, après quoi la fiancée continuait à vivre chez ses parents pendant que le couple se préparait aux Nissouines, qui se tenaient généralement un an plus tard.
Ce n’est qu’au cours des siècles derniers quand les tribulations de l’exil ont ébranlé la stabilité de la vie juive et souvent causé la soudaine des communautés qu’il a été jugé préférable de ne pas créer un lien de mariage entre un jeune homme et une jeune fille qui ne vivraient pas ensemble.
C’est là qu’est née la pratique en usage de nos jours qui consiste à célébrer les Nissouine immédiatement après les Kiddouchine, combinant les deux étapes du mariage en une cérémonie unique.)
Nos Sages nous disent qu’au Mont Sinaï, lorsque D.ieu
Se révéla à nous, et nous donna la Torah, nous nous
consacrâmes à Lui comme sa jeune épousée.
Néanmoins, cela ne constitua que l’étape des Kiddouchine de notre mariage.
Notre lien avec Lui ne sera complet qu’à la venue du Machia’h, lorsque D.ieu et Israël seront unis par les Nissouines.
Cela ne signifie pas pour autant que notre relation avec D.ieu est aujourd’hui exclusivement « négative », comme on l’a noté ci-dessus.
Nos engagements envers Lui incluent à la fois les « commandements positifs » et les « interdictions ».
Cela veut dire qu’aujourd’hui, nous ne sommes capables que d’établir les « paramètres » de notre relation et non d’en réaliser le contenu quintessenciel.
Aujourd’hui, notre relation avec D.ieu se définit par notre engagement à Lui et notre aspiration à nous unir à Lui, mais sans l’expérience tangible de l’union elle-même.
Nous languissons après Lui comme la jeune fiancée aspire à vivre avec son fiancé, mais dont les sentiments ne sont qu’un pâle reflet de l’amour qui naît du mariage lui-même.
Pendant trente-trois siècles, nous avons créé l’« espace » pour notre mariage avec D.ieu et ardemment défendu ses frontières.
Nous sommes restés fidèles à Lui face à toutes les cultures et tous les « ismes » qui ont tenté de nous séduire.
Nous avons affirmé notre identité en tant que Son peuple, exclusivement consacré à Lui.
Nous sommes maintenant prêts au mariage, à l’expérience réelle du divin comme étant la réalité la plus intime de notre vie.
Basé sur Hitvaadouyot 5711 vol. 2, p. 142;
Likoutei Si’hot vol. 19, pp. 215-220;
Sefer HaMaamarim Meloukat vol. 4, pp. 237-241.
NOTES
1. Osée 2,21.
2. Chémot - Exode 12,2
– La première mitsva donnée au peuple d’Israël.
3 . Yéchayahou - Isaïe 54,5.
4. DANIEL- Daniel 12,3. 5. Midrache Rabbah Béréchit - Genèse 1:2. 6.
Le premier des Dix Commandements, Exode 20,2. 7.
Le second des Dix Commandements, ibid., verset 3.
8-Vayikra - Lévitique 19,18.
9- Ibid., verset 17. 10.
Chémot - Exode 20,8. 11. Ibid., verset 10. 12. “ Croissez et multipliez-vous ”
– Béréshit - Genèse 15,8. 13. “ Tu ne tueras pas ”
– Yéchayahou
- Exode 20,13. 14. Ibid. 12,18. 15. Ibid. 13,3. 16.
Le terme eroussine est souvent utilisé à tort pour désigner la pratique moderne des fiançailles, qui est juste la déclaration de la volonté des deux partis de se marier à une date future.
A une occasion, le Rabbi a insisté pour que cette erreur – qui peut donner lieu à des problèmes d’un point de vue halakhique – soit corrigée et que les fiançailles d’aujourd’hui ne soit désignée que par le terme hébraïque qui leur correspond :
chidoukhine.
17. Talmud Kidouchine 2b.
18. Béréchit - Genèse 2,24.
..........
« Précédent Les Dix Commandements du mariage Suivant
» 3ème commandement Ne regardez pas d’autres hommes ; ne comparez pas votre mari aux maris d’autres femmes.
Ne regardez pas d’autres femmes ; ne comparez pas votre femme aux femmes d’autres hommes.
Comparer ne peut que causer des problèmes
J’ai récemment reçu un appel d’une femme que je ne connaissais pas.
Elle voulait me parler.
Elle était malheureuse.
Elle était mariée depuis plusieurs années et s’était soudainement rendue compte que son mari n’était pas aussi intelligent, poli, raffiné, bien élevé, sophistiqué, que... A
lors qu’elle parlait, il m’a semblé qu’il manquait une partie de sa phrase.
« Il n’est pas aussi bien que... »
Que qui ? ai-je demandé.
Elle ne répondait pas.
En insistant, j’ai demandé s’ils étaient récemment sortis avec un autre couple.
Surprise, elle s’est exclamée :
« Oh, vous nous avez vus au restaurant ? »
(La vérité c’est que je ne savais même pas à qui je parlais !)
Je l’ai assurée que je ne les avais pas vus, mais je lui ai expliqué qu’il était évident qu’elle comparait son mari à quelqu’un d’autre et je lui ai demandé de me raconter ce qui s’était passé.
Elle a tristement décrit comment la nuit précédente, au restaurant, le mari de son amie avait tiré la chaise pour sa femme, comment il avait pris son manteau et l’avait soigneusement accroché pour elle.
Son propre mari n’avait pas fait cas de sa chaise ni de son manteau.
Le mari de l’autre femme avait su quoi commander et savait même ce que sa femme préférait.
Son propre mari était resté assis à attendre qu’elle commande pour lui, non sans avoir déclaré qu’il détestait la nourriture sophistiquée.
Il a alors fait une blague sur les gens qui mangent autre chose que des steaks-pommes de terre.
L’autre homme avait été si raffiné et distingué, tandis que son propre mari avait accidentellement offensé le serveur.
Et l’autre mari connaissait même tout sur les vins !
Elle était rentrée à la maison se sentant très déçue de son mari.
Ceci est absurde, bien sûr.
Un connaisseur de vins n’est pas ce qui fait un bon mari !
On pourrait même soutenir que l’inverse est vrai.
Concentrez-vous sur ce qui est bon chez votre conjoint, sur les choses qui sont importantes.
En les reconnaissant, vous les renforcerez.
Le remercier pour sa patience avec les enfants, par exemple, renforcera cette qualité en lui.
Reconnaissez et renforcez le bon.
Comparer ne peut que causer des problèmes.
C’est votre conjoint ; il n’y en a aucun autre.
<< 2ème commandement Dans le judaïsme, le concept du mariage ne concerne pas uniquement la relation entre l’homme et la femme ; notre relation avec notre Créateur est également considérée comme un mariage.
Notre anniversaire de mariage est la fête de Chavouot, le jour où nous avons reçu la Torah.
Et de même qu’un mariage se doit d’être continuellement renouvelé, nous revivons chaque année le moment extraordinaire du don de la Torah, notre mariage avec D.ieu.
C’est tous réunis que nous avons reçu la Torah, hommes, femmes et enfants, et il nous est enseigné que le mont Sinaï lui-même, la plus petite et la plus humble de toutes les montagnes, fut suspendue au-dessus de nos têtes, symbolisant le dais nuptial : la ‘houpah.
Quand nous reçûmes les Dix Commandements, les fondements de la Torah, ceux-ci furent notre contrat de mariage, la ketoubah, représentant l’amour, l’engagement, le respect et la responsabilité au sein de cette relation.
Le doute peut tuer n’importe quel bon mariage
Chaque fois qu’un homme et une femme se marient, le moment où ils se tiennent sous la ‘houpah est une reconstitution de notre noce avec D.ieu, le jour où nous reçûmes ces Dix Commandements.
Il est donc clair qu’en approfondissant ces commandements, nous y trouverons non seulement des conseils d’ordre spirituel pour améliorer notre mariage, mais également des directives pratiques essentielles.
LES DIX COMMANDEMENTS :
1. Je suis l’Éternel ton D.ieu qui t’a fait sortir d’Égypte, de la maison d’esclavage.
Soyons clairs, dans mon travail de formatrice et de conseillère matrimoniale, j’ai rencontré beaucoup de gens qui se demandaient s’ils avaient épousé la bonne personne.
Ils pouvaient être mariés depuis des décennies, mais ils n’étaient toujours pas sûrs à 100 %.
Certains avaient pu être sûrs par le passé, et puis le doute s’était insinué en eux.
« Ai-je été trop précipité(e) ou immature en prenant ma décision ?
Est-ce la bonne personne ? Serais-je plus heureux(se) avec quelqu’un d’autre ?
Depuis notre mariage, avons-nous évolué dans des directions différentes, sommes-nous devenus différents ? »
Oui, vous étiez immature quand vous vous êtes marié(e), mais c’est une bonne chose.
Vous vous êtes rencontrés quand vous étiez plus jeunes et encore flexibles et vous avez grandi ensemble.
Oui, vous avez tous deux changé et évolué depuis votre mariage, mais si vous vous incluez mutuellement dans les changements et le développement, ceux-ci ne feront qu’accroître l’intérêt que vous vous portez l’un à l’autre.
Ne vous y trompez pas : le doute peut tuer n’importe quel bon mariage.
Imaginez ce qu’il peut faire à un mariage fragile.
J’ai rencontré des femmes qui ne purent être heureuses qu’après avoir reconnu et voulu accepter : « Cet homme est mon mari.
C’est l’homme que j’ai voulu épouser. »
Lorsqu’on reconnaît cette décision, on reconnaît que c’est l’homme avec lequel on est destinée à demeurer, à travailler, à vivre, à élever des enfants, à payer des factures, à trouver des solutions et à vieillir : cet homme et aucun autre.
Dans le premier commandement, le premier mot est Anokhi.
Ce mot signifie « Je » dans la langue égyptienne. Pourquoi D.ieu choisit-il de commencer le don de la Torah, le tout premier des Dix Commandements, dans une langue étrangère et non en hébreu ?
À ce moment-là, nous, le peuple juif, venions à peine de sortir d’Égypte.
Bien que nous ayons fait usage de l’hébreu, l’égyptien nous était également devenu familier.
D.ieu a choisi de s’adresser à nous dans une langue commune, constituant un « terrain commun » pour amorcer la relation.
Cela recèle d’une leçon pour nous tous.
À un moment de sa vie, une femme peut en venir à se dire :
« Il est tellement différent de moi. »
Cependant, avec des efforts et du dévouement, un terrain commun peut être trouvé. S’il vous faut pour cela « parler une langue étrangère » pendant quelque temps, faites-le.
L’utilisation du mot Anokhi, « Je », nous enseigne que D.ieu a investi toute Son essence dans la Torah.
La leçon pour nous est que nous devons investir tout notre cœur et toute notre âme dans notre mariage.
« Qui T’A FAIT SORTIR D’ÉGYPTE » Pourquoi D.ieu continue-t-il de nous rappeler d’où nous venons ?
Est-ce à ce point agréable de s’entendre dire que nous fûmes des esclaves ?
Ne pouvons-nous pas simplement oublier le passé et aller de l’avant ? Nous venons tous de quelque part. Bien que nous souhaitions entamer notre vie maritale aussi neufs que des nouveau-nés, le fait est que nous y arrivons avec notre histoire personnelle, notre enfance, nos habitudes, nos attentes, nos différences et peut-être même, à D.ieu ne plaise, nos traumatismes.
S’il y a dans notre passé quelque chose qui doit être réparé, il faut s’y atteler et ne pas le balayer sous le tapis.
Toute chose escamotée aujourd’hui reviendra amplifiée demain ou la semaine prochaine ou dans dix ans.
Tôt ou tard, elle devra être affrontée, examinée et traitée. Et plus on s’y prend tôt, bien mieux on se portera.
On peut vraiment se blesser, soi-même comme d’autres membres de la famille, en trébuchant sur toutes ces bosses sous le tapis.
Tant que nous n’avons pas assumé notre « passif », la tentation existe de faire porter à notre conjoint la responsabilité de nos angoisses.
Y a-t-il quelque chose en nous qui ait besoin d’être réparé ?
Quelque chose qui remonte à très loin ?
Nous ne sommes pas les seul(e)s à avoir un passé.
Nos conjoints, eux aussi, viennent d’un foyer différent, ont fréquenté une école différente ou ont peut-être grandi dans une culture différente.
Aussi semblables que nous pensions être, nous serons toujours différents.
Parfois une personne est vexée par quelque chose que son conjoint fait ou ne fait pas, parce qu’elle se dit qu’il « devrait savoir ».
Par exemple, vous avez peut-être grandi avec une certaine manière de célébrer votre anniversaire dans laquelle vous aviez toujours un gâteau et des cadeaux.
Mais il est possible que les choses se soient faites tout à fait différemment chez ses parents.
Donc si vous ne lui dîtes jamais ce à quoi vous vous attendez, vous ne pouvez pas être vexé(e) si votre conjoint ne sait pas que vous voulez un gâteau et des cadeaux.
Chaque partenaire doit prendre le passé de l’autre en considération. (à suivre...)
Lettre de Paul Newman à sa femme Joanne Woodward
Être heureux dans son mariage n’arrive pas par hasard.
Un bon mariage se construit.
Dans l’Art du Mariage, les petites choses sont les choses importantes.
C’est n’être jamais trop vieux pour se tenir par la main. C’est se souvenir de dire « Je t’aime » au moins une fois par jour.
C’est ne jamais se coucher fâchés.
C’est ne jamais considérer l’autre comme acquis, la séduction ne s’arrête pas après la lune de miel ; elle doit se poursuivre à travers les ans.
C’est avoir les mêmes valeurs et des objectifs communs.
C’est affronter le monde ensemble.
C’est former un cercle d’amour qui rassemble la famille entière.
C’est faire des choses l’un pour l’autre, non pas par sens du devoir ou du sacrifice, mais avec joie.
C’est dire combien on apprécie l’autre et montrer sa reconnaissance par de petites attentions.
C’est ne pas voir son mari comme un saint ni donner des ailes d’ange à son épouse.
C’est ne pas chercher la perfection chez l’un et l’autre. C’est cultiver la flexibilité, la patience, la compréhension et le sens de l’humour.
C’est être capable de pardonner et d’oublier.
C’est créer un climat où l’un et l’autre peuvent évoluer. C’est trouver une place à la spiritualité.
C’est une recherche commune de bonté et de beauté.
C’est établir une relation où l’indépendance est partagée, où la dépendance est mutuelle et l’obligation réciproque. Ce n’est pas seulement épouser le partenaire idéal mais aussi être le partenaire idéal.
Remontons l'histoire !!!!!
Malgré les leçons spirituelles bien connues que l'on peut tirer de la vie d'Abraham et de Sarah, avouons que ce couple est loin d' être triste !!!
Abraham oblige Sarah à l'appeler son frère et dit d'elle que c'est sa soeur ( c'était sa demi-soeur ) Sarah l'appelle aussi " mon Seigneur " , très exactement mon Baal . Ce terme dénote une relation toujours infériorisante pour elle . Elle a semble-t-il, peu d'occasions de l'appeler simplement mon mari ou mon chéri .
Alors que le besoin premier d'une épouse est la sécurité, chaque fois que Abraham rencontre un problème, un danger; il ne trouve rien de mieux que d'imposer à sa femme d'avoir des relations sexuelles, que ce soit avec le Pharaon ( Genèse: 12/18 ) ou avec Abimélec ( Genèse: 20/2 )
Il n'est pas étonnant que Sarah refuse, sans doute de manière inconsciente, d'avoir un enfant d'un homme insécurisant, et quelle somatise et affirme dans son corps son désir d'être reconnue, en étant stérile . Elle est sûre que c'est elle qui est stérile, quelle le fait vérifier par son mari en le poussant à avoir un enfant avec sa servante Agar .
Dès que Isaac, le fils promis naît ( le miracle de sa naissance montre que Sarah n'avait aucune malformation physique l'empêchant d'enfanter ), il est accaparé par sa mère qui reporte sur lui tout l'amour dont elle est frustrée .
Son insécurité personnelle fait qu'elle l'élève en le protégeant de tout : il sera tout sauf un homme d'action et fuira sans cesse les conflits . Il est incapable de chercher lui-même une femme et c'est Abraham qui doit en prendre l'initiative, quand il réalise qu'il est encore célibataire à quarante ans .
Ce n'est que trois ans après la mort de Sarah ( âgée de 127 ans ) qu'Isaac se marie enfin avec une jeune fille ... de la famille de sa mère . C'est dans la tente de sa mère qu'il conduit sa jeune épouse et Genèse 24/66 précise : << ainsi fût consolé Isaac de la mort de sa mère >>
On imagine les problèmes de ce nouveau couple dans lequel Rebecca ne sert qu'à remplacer Sarah dans le coeur d'Isaac . Elle aussi va rester stérile, pendant vingt ans .
Et Isaac usera du même procédé que son père : face à un autre Abimélec , il dira de Rebecca quelle est sa soeur ( Genèse: 26/7 ).
La mère de Salomon, Bath-Scheba, n'avait pas encore de palais la réputation d'une femme vertueuse: quand David était allé la chercher, << elle était venue vers lui >> ( 2 Samuel: 11 ) librement et avait plus que consenti à l'adultère . Elle n'était non plus pas innocente de la mort de son mari Urie .
Elle n'a donc communiqué à son fils Salomon qu'une image négative de la femme et de la fidélité conjugale . Ce qui explique qu'l épousa la fille de Pharaon, chose que Dieu interdisait . En cela, il imitait la désobéissance de ses parents, et il alla même plus loin que son père dans la rébellion puisqu'il eut, étant roi, un harem d'environ mille femmes .
Salomon souffrait-il d'un complexe d'OEdipe mal résolu ?
Comme un enfant a besoin malgré tout d'un modèle parental, Salomon resta fixé sur le modèle de son père David, représentant l'ordre et l'autorité .
Il accomplit en Israël un extraordinaire travail d'organisation administrative, religieuse et militaire, mais ses femmes non seulement ne lui apporteront pas l'amour, mais le détournèrent de Dieu .
Le mariage est la seule école où vous obtenez un certificat avant de commencer.
Elle est également une école où vous ne serez jamais diplômés.
Elle est une école sans pause ni période libre.
Elle est une école où personne n'a le droit d'abandonner.
Elle est une école à laquelle vous assisterez tous les jours de votre vie.
Elle est une école où il n'y a ni congés maladie ni vacances.
Elle est une école fondée par Dieu:
1. Les fondations sont faites d'Amour.
2. Les murs sont faits de Confiance.
3. La porte fait d'Acceptation.
4. Les fenêtres faites de Compréhension
5. Le mobilier fait de Bénédictions
6. Le toit fait de Foi.
Ne jamais perdre de vue que vous êtes juste un étudiant et non le Principal.
Dieu est le seul Principal.
Même en temps de tempêtes, demeurez sage et ne vous éloignez pas.
Gardez à l'esprit que, cette école est l'endroit le plus sûr.
Ne jamais aller dormir sans avoir accomplis vos missions pour la journée.
Ne jamais oublier le C-mot ... Communiquer.
Communiquez avec votre camarade de classe et avec le Principal.
S’il vous arrive de ne pas apprécier une chose en votre camarade de classe (conjoint),
Rappelez-vous que votre camarade de classe n’est juste qu’un étudiant aussi et non diplômé, Dieu n’a pas encore fini avec lui /elle.
Alors, prenez cela comme un défi et travaillez dessus ensemble.
Ne pas oublier d'étudier le livre principal de cette école:
La Bible.
Commencez chaque journée dans l’assemblée collégiale et terminez de la même façon.
Parfois, vous aurez la paresse d’assister aux cours, mais ne baissez pas les bras.
Lorsque vous êtes tenté d'arrêter, trouver le courage de continuer.
Certains tests et examens peuvent être difficiles, mais rappelez-vous,
Le Principal sait combien vous pouvez supporter et pourtant
Il n’y a pas meilleure école. Elle est la meilleure école sur terre.
La joie, la paix et le bonheur accompagnent chaque leçon de la journée.
Différentes matières sont enseignées dans cette école, mais l'amour reste la matière principale.
Après toutes ces années d’études de la matière, l'opportunité vous est à présent offerte de la pratiquer.
Etre aimé est une bonne chose, mais aimer reste un grand privilège.
Le mariage est un lieu d'amour, donc aimez votre conjoint(e).
C’est une preuve de la Grâce divine.
Envoyer ceci à tous vos amis mariés pour les encourager, et à vos amis célibataires en guise de conseil et d’éducation.
Sa Grâce est tout ce dont vous avez besoin !
Femme,
l'expression de ton amour envers ton mari, c'est la considération, le respect, la soumission.
Ce n'est pas lui dire tout simplement :
«je t'aime!».
Si le «je t'aime» n'est pas suivi de la soumission, tel que récommandé par l'Apôtre Paul (Ephésiens 5, 22-24),
c'est une vaine déclaration, sans effet.
1- C’est accepter de vivre avec une autre personne,
Sans vouloir la changer
2- C’est comprendre que des jours on est perdant
Et que d’autres jours on est gagnant
3- C’est de se rendre compte
Qu’on ne connaîtra jamais l’autre à fond
4- C’est être capable de vivre avec les faiblesses
Et les forces de l’autre
5- C’est éviter le calcul dans les partages de tâches,
De soi et de l’argent
6- C’est démontrer et faire savoir à l’autre Qu’il est grand et important
7- C’est savoir se taire pour écouter l’autre Qui a besoin de communiquer sa joie ou sa peine
8- C’est faire confiance à l’autre
Et croire à sa sincérité
9- C’est accepter l’imprévisible Et apprendre à gérer l’inconnu
10- C’est renégocier ensemble Chacune des étapes de la vie
Un couple uni est un couple puissant!
Un couple puissant est un couple qui fait des exploits.
La prière est une forme d'unité.
Un couple qui prie ensemble est un couple puissant.
Lorsque dans un couple, les conjoints ne parviennent plus à prier ensemble, c'est que le poison de la division commence à agir.
Ne vous séparez jamais longtemps, si vous êtes fâchés, réconciliez vous vite.
Ne laissez pas la discorde s'installer dans votre couple.
Apprenez à vous demander pardon, à vous pardonner et à vous humilier pour conserver la paix et l'unité du couple.
Ne soyez pas orgueilleux avec votre conjoint.
Soyez toujours transparents l'un envers l'autre, ne vous cachez rien. Un couple ne peut pas être uni si on se cache des choses.
Car le mal se servira de ce qu'on cache pour agir dedans et diviser le couple.
Ayez la même vision de la vie et la foi.
Respectez vous, respectez le rôle et la position de chacun.
Rendez à chacun ce qui lui revient, à la femme amour, attention, valorisation et compréhension...; à l'homme amour, respect, soutien et honneur...
Aimez vous, encouragez vous, soutenez vous!
Soyez toujours main dans la main et battez vous ensemble contre tout ce qui veut vous séparer.
Protégez vous mutuellement et protégez votre couple contre l'extérieur et aussi contre vous-mêmes, contre les mauvaises pensées envers son conjoint.
Au lieu de penser du mal de son conjoint, apprenez à dire les choses, ce que vous ressentez, communiquez ne soyez pas fermé mais essayez de comprendre l'autre.
Ne tombez pas dans la monotonie mais trouvez le moyen de vous apprécier toujours par des sorties amoureuses par exemple...
Soyez toujours unis!
Un couple uni est un couple puissant!
Avant de s'engager dans une fréquentation amoureuse , le croyant ou la croyante devra considérer l'influence que les éléments spirituels et humains auront sur leur couple .
Un certain nombre de conditions doivent être à respectées pour que l'union envisagée puisse être réellement heureuse :
Il est essentiel de rechercher d'abord la volonté de Dieu en lui faisant entièrement confiance
(la foi entre en jeu dans ce domaine).
Dieu a fait des promesses pour ceux et celles qui se confient en lui.
Par la prière, par le conseil de chrétiens expérimentés et par les circonstances, le(la) croyant(e) sera amené à un choix conforme à la volonté de Dieu;
Le mariage d'un(e) croyant(e) avec un(e) incrédule est interdit par Dieu.
Il ouvre la porte au relâchement spirituel et à bien des souffrances
Celui ou celle qui épouse une/un inconverti connaîtra un arrêt dans sa marche avec Dieu;
L'unité dans le mariage ne peut être réellement profonde que s'il y a unité de pensées et d'objectifs sur le plan spirituel. "
C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme , et ils deviendront une seule chair".
( Genèse 2: 24 )